A la découverte de l’âne vagabond « Portes Ouvertes du 28 et 29 juin »

Le site de la harlière accueille depuis un an les sculptures d’Antoine, l’occasion était belle pour ce premier anniversaire d’inviter Antoine à sculpter sur place pendant ces 2 jours.
Un tronc de cèdre de 2,50 mètres de haut avait été placé il y a quelques temps dans l’espace boisé de l’âne vagabond par notre voisin Bernard à l’aide de son tracteur. Une opération délicate pour mettre debout ce morceau de bois d’une tonne et demi et le stabiliser.
Samedi 28 Antoine est sur pied à 10h, tout le travail d’échafaudage a été fait la veille; Les tronçonneuses peuvent se mettre en action. Que va devenir ce tronc? Petit à petit, le voile se déchire, certains spectateurs ont deviné ce qui allait surgir de ce tronc :
Un Moaï comme les figures de l’île de Pâques mais celui ci est en bois et bien breton, l’artiste y a rajouté des éléments qui l’identifie à la culture celte. Le Moaï a pris forme pendant ces 2 jours et regarde au loin ses frères au delà du Chili.
Ces 2 jours nous ont aussi donné l ‘occasion de découvrir le travail de Brigitte Blanc autour de la respiration. Brigitte, ma compagne, qui me rejoint maintenant à l’âne vagabond va pouvoir dispenser ses bienfaits aux habitants de la région après 20 années de pratique de cet technique « Pneumacorps » dans le sud est de la France. Brigitte qui a été infirmière pendant 40 ans vous accompagnera dans une approche psychocorporelle, étant spécialisée dans la libération de la respiration et de la voix.
Nous avons pris un grand plaisir à voir ou revoir le duo BAM , Marine GAY et Mickaël JEHANNO.
Et dimanche Thomas, notre maréchal ferrant est venu dispenser ses connaissances sur le parage des ânes Bibi, Tibou et TiJules.
Le temps magnifique qu’il a fait pendant ces 2 journées a permis de profiter pleinement des bienfaits de l’âne vagabond et notamment de la promenade avec les ânes. Tibou, TiJules et Roy qui vous attendent tout l’été à la harlière.
il y a tout juste un an le 17 juillet 2024 , c’était la naissance d’Ora. La petite anone est déjà presque aussi grande que sa maman et n’hésite pas à boire avant elle dans le seau.

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